Le propriétaire s’attache toujours à son animal de compagnie et éprouve un vide lorsque celui-ci n’est pas présent. Il arrive que ce petit être s’égare et que dans la panique, le propriétaire ne sache plus que faire.
Déclaration de la perte
La procédure est plus simplifiée lorsque l’animal porte un élément d’identification facilitant les actions de recherche. Normalement, les animaux de compagnie doivent avoir un tatouage ou une puce qui permet de les reconnaître facilement. Un numéro unique est attribué à chaque animal enregistré. Si tel est le cas, le propriétaire peut procéder à la déclaration de la perte de son animal de compagnie. La démarche s’effectue en ligne en allant sur le fichier national d’identification (https://filalapat.fr/perdu-animal).
Le tatouage est effectué à l’aide d’un dermographe ou d’une pince. Le processus consiste à marquer le code d’identification sur une partie du corps des furets, des chats et des chiens. Il suffit d’insérer ce code dans le fichier d’identification pour obtenir les informations sur l’animal et sur son propriétaire.
Le principe de la puce électronique est identique à celui du tatouage. La différence se trouve uniquement au niveau du support qui est ici une puce en forme de grain de riz. Elle est placée sous la peau de l’animal et se lit à l’aide d’un lecteur disponible chez les pompiers, les services de fourrières, les refuges et les vétérinaires.
Contacter les fourrières et les refuges
Tous les animaux errants sont ramenés à la fourrière intercommunale ou communale pour être gardés et obtenir les soins nécessaires en attendant la réclamation des propriétaires. Cette structure les héberge pendant 8 jours ouvrés. Passé ce délai, si personne n’est venu chercher l’animal, il devient automatiquement la propriété de la fourrière.
Pour quelque raison que ce soit, cette dernière ne peut pas le garder, son transfert à un refuge est programmé. Ainsi, les personnes doivent visiter tous les refuges et les fourrières localisées aux alentours de l’endroit où l’animal s’est égaré. Le mieux est de définir un périmètre d’intervention et de contacter toutes les structures qui s’y trouvent. La mairie détient la liste des différentes structures qui peuvent accueillir ces animaux. Ne pas hésiter à aller à la mairie pour demander des renseignements sur ces chenils, fourrières et refuges.